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L’Herpès génital d'un homme ou une femme : quel symptôme et traitement ?

2023-02-12

Tout savoir sur l’herpès génital

L’herpès génital est un sujet qui effraie un grand nombre de Français. Pourtant, cette infection est trop souvent incomprise. Quel est le risque lié à ces vésicules cutanées ? Comment traiter ce problème afin d’éviter la transmission ? Cet article vous dira tout ce que vous devez savoir à propos de cette IST imprévisible.

L’explication scientifique de l’herpès génital

Que sont ces fameuses vésicules ?

L’herpès génital est réputé pour être viral et contagieux (transmission sexuelle). Or, cette maladie n’est pas toujours détectée. En effet, ce virus attaque l’organisme avant de s’y « endormir » lors d’une primo-infection. Après 7 à 21 jours, une éruption cutanée (appelée poussée) provoque la formation de petites cloques et plaies dans la zone intime d’une personne. Visuellement disgracieux, ces petits boutons contiennent un liquide blanchâtre.

Une propagation rapide

Le problème de l’herpès génital est très certainement sa propagation rapide. Qu’il s’agisse de pénétration ou de sexe oral, les micro-éclatements des boutons sont fortement susceptibles de transmettre l’infection. 

Un autre facteur inquiète souvent les Français : la récidive. Ainsi, sans éliminer le virus, l’herpès semble disparaître au bout de plusieurs jours. Cependant, une réapparition de cloques est toujours constatée après un certain laps de temps. Pendant cette période, la transmission du virus est toujours possible. Bref, cette IST est un fléau insuffisamment combattu par les personnes infectées. 

L’herpès génital chez l’homme

L’herpès sur le pénis d’un homme est plus facilement détectable. Une balanoposthite (inflammations du prépuce ou gland) ainsi qu’une urétrite confirmera l’infection. 

L’herpès génital chez la femme

L’herpès vaginal est bien plus complexe. En effet, les éruptions cutanées sont parfois invisibles à l’œil et nécessitent une vérification dans les bords intérieurs du vagin. Des vulvovaginites aiguës fébriles, une méatite ou encore une cervivite sont généralement diagnostiquées (lorsque le méat urinaire est atteint). 

Peut-on ressentir un symptôme supplémentaire ?

L’apparition d’une plaque de vésicules est plus que contraignant : des démangeaisons ou autres brûlures fugaces sont associées à ces phénomènes. Ces petites bulles peuvent être groupées ou étendues dans la zone intime d’une personne infectée. De plus, les cas de montées en température (fièvre) et autres malaises sont tout à fait possibles. Les éruptions cutanées seront de douloureuses jusqu’à apercevoir des croûtes après environ huit à neuf jours. 

Une nouvelle fois, cette finalité n’en est pas une : une nouvelle crise d’herpès est envisageable tant que le virus sera présent dans l’organisme. D’après les statistiques, seuls 55 et 70 % des infectés ne sont plus sujets à ces manifestions. Pour les autres, des dérèglements de menstruations, la contraction de la grippe ou des cas de corticothérapie sont parfois recensés. 

Quel traitement contre l’herpès génital ?

Le traitement de l’herpès génital permet d’assurer l’élimination de la crise cutanée, mais pas la destruction du virus. Celui-ci reste latent dans les ganglions lymphatiques (seule la défense de l’organisme peut véritablement supprimer cet indésirable). En revanche, la prise de substances antivirales (par administration orale) suffira pour réduire la douleur en tant qu’antalgiques. Par la même occasion, la formation de croûte sera accélérée pour éviter la propagation entre partenaires.  

Pour conclure 

L’herpès génital est une infection difficilement combattue par l’organisme et autres substances antivirales. Un seul conseil peut être donné : diagnostiquez rapidement cette IST afin de ne pas transmettre ce virus lors de vos rapports sexuels.